C'est autrichien demeure pourtant assez discret,
c'est bien dans la mouvance new-age que ce disque se situe. Mais malgrès tout avec beaucoup de mouvements internes qui bouge, ainsi que beaucoups de thèmes et des mélodies - pas spécialement simple, un fourmillement d'idées, mais l'essentiel cherche la simplicité.
Beaucoups de Claviers des nappes de vieux Korg Trident analogique, du mellotron, et aussi un DX7
qui était une nouveauté à l'époque, mais surtout de super solos de minimoog comme ont en entend pas trop souvent comme d'ailleurs se que font les guitares - accoustique et électriques, de la belle broderie
le maillons un peu faible étant la rythmique, crée le plus souvent avec des boites à rythmes et autres drum-machine. Pourtant on sens que pour un artiste solitaire il ne laisse pas trop les machines faire le travail tout seul, et on peu sentir et entendre beaucoup de soins apporté au détails.
Vraiment un splendide voyage essentiellement instrumental dans une thématique de l'humanité perdue et qui dois retrouvé le chemin de la sagesse en retrouvant l'ancien royaume caché, qui détient ces clef de l'illumination.
C'est Album est parmis les meilleures de Gandalf dans sa première période, qui elle même est - personnellement meilleure que ce qu'il a pu produire après les années 90', hormis quelques exceptions.
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